les temps hêtre aux mâts
de verveine sur des morsures sylvestres
leur glas marmoréen hachent des essaims
de petites filles dont la commodité prend l'Autre
par l'infamie
et tu dévergondes la fiévreuse qui glisse
et s'infiltre entre les grâces innombrables
ces parfums compartimentés que des factions de papille
butinent en cachette
sous les toiles du masque scabreux
le bal illumine l'amiante et le soufre
éther érable et espoir ponctuent
des soleils de moelle
les garces de la nuit dont le trépas
nous fait sourire déambulent aux petites heures
bohémiennes d'une artère soûlante
et lourde comme le rire triangulaire de la perfection
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merci à gmc pour l'inspiration
4 comments:
ces images de réglisse dans les mots donnent le goût de traîner, de déambuler plutôt «aux petites heures
bohémiennes d'une artère soûlante»
Très beau.
et ben, on s'est encore croisés! buenas notches! y espero escribir un texto bueno por l'halloween, dit-il de son espagnol de garde-robe endimanché.
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merci lubna, la suite s'en vient.
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