4.2.11

Tokyo, Québec rencontre le Baise-livres

Avant même d’entamer la lecture de Tokyo, Québec, le lecteur tombe face à cette phrase de la présentation de l’auteur : « Leroy K. May a souffert les Études françaises à l’Université de Montréal ». Après avoir lu le texte, on conçoit bien que ce dernier a pu se faire enfoncer Proust dans la gorge à grands coups de citations pompeuses. Or, Tokyo, Québec semble justement poser la question : peut-on dépasser ce modèle littéraire ? Est-il possible d’écrire un roman anti-proustien ?

Lire la critique sur le baise-livres d'Elisabeth de Never Never Land.

No comments: