Mais rêvassons quelque peu, en ce beau jeudi glacial après une jolie victoire du CH, et imaginons si Jacques Martin était poète. Après un match, devant un groupe de journalistes en liesse, il pourrait dire:
«Que nous nous remissions si rapidement après une défaite me fait chaud au coeur.»
«Que nos quatre trios contribuassent et que la brigade défensive travaillasse si bien me fait perdre mon air bête.»
«Il est de mise que nous disputassions nos meilleurs matchs sans la rondelle».
«Repliez-vous, avants! Broyez, défenseurs! Et que la coupe soit nôtre!»
Ah! Si Jacques Martin était poète...
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